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Un enfant palestinien souffrant de malnutrition passe un examen médical dans une clinique MSF à Gaza.
Nour Alsaqqa/MSF

Kareem, 8 ans, a été blessé par une frappe israélienne qui a touché sa maison à Gaza-Ville le 27 juin 2025. Julia, sa soeur de 4 ans, et Khalil, son frère de 9 ans, sont également blessés. Leurs parents, dont Ahmed qui se trouve au chevet de son fils sur la photo, travaillent pour Médecins Sans Frontières, comme chirurgien et chargée de la gestion des données.
Nour Alsaqqa/MSF

Abdullah était hygiéniste avec MSF, il a été tué par les forces israéliennes alors qu'il tentait de récupérer des sacs de farine sur un camion d'aide humanitaire, le 3 juillet 2025, Gaza.
© MSF

Des personnes déplacées arrivant à Tawila, Darfour, Soudan.
MSF

"J'ai marché 15 kilomètres dans la zone rouge pour chercher de quoi manger. Je me rends dans ces points de distribution [ndlr. de GHF] afin de nourrir mes enfants. J'ai pu ramassé ces quelques pâtes sur le sol, je n'ai rien pu prendre d'autre", explique Samah Hamdan, une mère déplacée de 47 ans prise en charge au centre de soins de santé primaire de MSF à Al Mawasi. Gaza, 19 juin 2025.
MSF

Des voitures palestiniennes bloquées à un checkpoint israélien fermé à l'entrée d'Hebron. Beaucoup ont finalement décidé de traverser à pied, malgré les risques que cela comporte. 14 juin 2025.
MSF

Des Palestiniens attendent l'arrivée d'un camion d'eau en Palestine.
Nour Alsaqqa/MSF

MSF appelle les États membres de l’Union européenne à assumer leurs responsabilités face aux signes de génocide que nos équipes constatent chaque jour à Gaza. À l’approche d’échéances diplomatiques majeures en juin – Conférence de l’ONU à Paris (18-20 juin), Conseil des affaires étrangères (23 juin) et Conseil européen (26 juin) – MSF exige des actes à la hauteur des discours. Bien que certains appels dépassent le cadre de l’UE, cette conférence de presse s’adresse spécifiquement à ses membres.
Bruno De Cock/MSF

Le village de Makombo, à 45 km de la ville de Goma, en République démocratique du Congo (RDC). Suite au retour de personnes déplacées après le démantèlement des camps à Goma en début d’année, MSF y a lancé une intervention d’urgence en février 2025 pour appuyer le centre de santé de la zone en termes de soins de santé primaire, de prise en charge de la malnutrition, de traitement du choléra, et de santé sexuelle et reproductive -incluant la prise en charge des victimes de violences sexuelles. En mars 2025, les équipes de MSF y recevaient en moyenne 20 survivantes de violences sexuelles par semaine.
Lamine Keita/MSF

Pierre-Yves Bernard/MSF