En 2019, les déplacés ont continué de rentrer chez eux, mais pour plus d'un million d’entre eux, les obstacles au retour sont importants. Certains vivent dans des camps depuis des années, et ne bénéficient que de quelques services de base. En fin d'année, la violente répression des manifestations dans diverses villes du pays a mis le système de santé à rude épreuve.